Né des nécessités découlant de la création du spectacle « IntroductionS », L'OFM se compose de musiciens dont l'orientation est dédiée à cette expérience qui se veut hors carcans académiques (parfois inhibiteurs) qui ont répondus à ceci:

 

« Pouvoir jouer (très) mal et jouer faux de manière sérieuse et rigoureuse. Pouvoir jouer (très) bien peut être un plus. Il n'est ni obligatoire de bien maitriser un instrument ni savoir lire une partition. Pouvoir venir avec un instrument, même en « mauvais état ».

 

Sa conception, inspirée notamment des travaux de Gavin Bryers et du Portsmouth Sinfonia, l'Orchestre de la Fin du Monde, s'inscrit dans la lignée philosophique de la troupe du possible, et se veut subversive par rapport aux critères communément admis de « qualités » mêlant des musiciens improvisés, débutants et confirmés.

L'Orchestre se compose donc d'un panel hétéroclite d'instruments et singularités. Il se veut un outil médium du chaos dans ce qu'il a de plus inspirant.